Cent ans de solitude, L’amour aux temps du choléra, Chronique d’une mort annoncée… Dans ses romans, la frontière entre le fantasme et le quotidien tombe pour qu’une intrigante normalité se forme. Pourtant, ils portent sur l’universel. Le Prix Nobel de littérature a vendu 50 millions d’exemplaires de ses livres. Richard Boivin, enseignant en littérature, raconte à Jacques Beauchamp que Gabriel Garcia Marquez a voulu rendre un témoignage poétique sur le monde de son enfance.